Nécropole de Noyers-Pont-Maugis en Ardennes, "La Marfée". © Guillaume Pichard
In the town of Noyers-Pont-Maugis, “La Marfée” National Cemetery holds the remains of soldiers who died for France during the Battle of the Ardennes in August 1914 and the final offensive toward the Meuse in 1918. Established just after the battles, the cemetery was redesigned in 1920, after which it received the bodies of other soldiers buried in the sector of Sedan. Today, the cemetery holds 1,723 dead, including 1,202 in the ossuary, together with some foreigners (British and Romanian, among others). Adjoining it is a German cemetery established in 1922 where 14,055 German soldiers from the 1914-1918 war and 12,788 from the 1939-1945 war are buried.
Nécropole de Noyers-Pont-Maugis en Ardennes, "La Marfée". © Guillaume Pichard
Nécropole de Noyers-ont-Maugis en Ardennes, "La Marfée". © ECPAD
Cibles de choix pour l’ennemi, les soldats français en pantalon rouge garance et capote gris de fer bleuté stationnent au milieu d'un champ. © Collection privée FBN - DR
Représentation caricaturale de la prise du drapeau du 68e Landswehr par deux hommes du 137e RI. © Collection privée FBN - DR
Ruines du village de Noyers-Pont-Maugis, 1915. © Collection privée FBN - DR
Obusiers abandonnés par les troupes allemandes à Givonne (Ardennes), novembre 1918. © ECPAD/Daniau
Monument allemand érigé sur l'ancien champ de bataille de Noyers-Pont-Maugis. © Collection privée FBN - DR
Tombes françaises isolées près de la cote 340 sur le plateau de la Hazelle. © Collection privée FBN - DR
Servants de la 3e brigade de Spahis d'un canon antichar en exercice pendant la "Drôle de guerre", hiver 1940. Après avoir violé la neutralité de la Belgique et des Pays Bas, l’armée allemande arrive à Sedan, le 12 mai. Le 13 mai 1940, l'artillerie française en position sur le massif de La Marfée est écrasée en seulement deux heures par l'aviation allemande. Le même jour, les troupes d’assaut franchissent la Meuse et atteignent Pont-Maugis, Frénois et la Croix Piot. Le 14, les panzers du général allemand Guderian attaquent le plateau. Les combats se déplacent alors jusqu’à Stonne où le front se fixe momentanément. © ECPAD