La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © ECPAD
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Saint-Rémy-la-Calonne Cemetery holds the remains of soldiers who died for France during the battles on the Hauts-de-Meuse between 1914 and 1918. 203 French soldiers, only 86 of whom have been identified, lie at rest here. The cemetery was redesigned in 1967 and again in 1992 to accommodate the bodies of the 21 infantrymen from the 288th Infantry Regiment exhumed from the forest of Saint-Rémy and the 16 soldiers from the 54th Infantry Regiment previously buried in the municipal cemetery in Saint-Rémy-la-Calonne.
Among them lies Henri-Alban Fournier, one of 403 writers killed during the 1914-1918 war. Born in 1886, he published many stories, essays and poems under the pseudonym Alain Fournier. His only novel, Le Grand Meaulnes, was published in 1913 Mobilised in August 1914, Fournier joined the 288th Infantry Regiment, where he was made Lieutenant (Reserve). Involved in the first battles that took place in the Verdun region, he died on 22 September 1914, while on reconnaissance in the Tranchée de Calonne sector. He was believed to have been wounded or taken prisoner. Like so many other soldiers, he was classified as Missing, presumed dead and, in 1920, officially declared dead. In 1991, the exact location of his grave was found in a clearing in the forest of Saint-Remy. Alongside his men, also from southwest France, he had been buried in a mass grave dug by the German army. Following archaeological excavations and meticulous research, all these soldiers were solemnly reburied in this national cemetery.
La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © ECPAD
La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © ECPAD
La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © ECPAD
La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © ECPAD
La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © Guillaume Pichard
La nécropole nationale de Saint-Rémy-la-Calonne. © Guillaume Pichard
Sapeur français aménageant un couloir souterrain de la sape n°13, février 1916. Les mines sont placées dans des galeries souterraines, creusées à cette fin par des troupes spécialisées, les sapeurs. Par extension, on désigne comme la "mine" l’ensemble du cheminement souterrain creusé par l’assaillant jusque sous la position adverse pour y aménager une chambre de mine. © ECPAD
Position française de première ligne à la Tranchée de Calonne, février 1916. © ECPAD
Tombes de combattants inhumés au milieu d'un réseau de fil de fer barbelés, 15 février 1916. © ECPAD
Un boyau aux Éparges, 14 avril 1918. Un boyau est une voie de communication entre deux lignes de tranchées. C’est par les boyaux que "montent" et "descendent" les unités lors des relèves, non sans problèmes, dus à l’étroitesse du boyau qui peut empêcher les files d’hommes de se croiser, et aux ramifications multiples qui font s’égarer les unités. © ECPAD
Ravitaillement américain à la Tranchée de Calonne, 14 avril 1918. En septembre 1918, le secteur des Éparges est libéré grâce à l'offensive de l'armée américaine qui délivre le saillant de Saint-Mihiel.© ECPAD