Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Located in Verdun, Faubourg-Pavé National Cemetery holds the remains of soldiers who died for France during the battles in Verdun between 1914 and 1918 and of soldiers that fought in the Second World War. Established during the First World War, the cemetery was developed from 1919 to 1926 and redesigned in 1965 to receive the bodies of other soldiers who had originally been buried in cemeteries at Belrupt, the Chevert barracks and Eix-Abaucourt, or were found on the battlefield. From the First World War, over 5,000 French soldiers, a Chinese worker, an Indochinese man, a Luxembourg man and a Romanian are buried here in individual graves or in the ossuaries. From the Second World War, over 600 French, seven British, one Belgian and one Polish soldier are buried here.
In the middle of the cemetery are the graves of the seven unknown soldiers who were kept in Verdun after the ceremony held in the underground citadel in 1920 to choose the Unknown Soldier. The eighth soldier, chosen by Auguste Thin, lies ever since under the arch of the Arc de Triomphe in Paris.
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © Guillaume Pichard
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © Guillaume Pichard
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé. © ECPAD
Ruines de Verdun, février 1916. Ravagée par les bombardements depuis le début de la bataille, en février 1916, la ville de Verdun n'est plus qu'un champ de ruines. Partout, les mêmes scènes de désolation se répètent. Les quartiers d'habitations longeant la Meuse sont ainsi en grande partie détruit, tels que la rue Saint-Sauveur, la rue Beaurepaire, la rue Mignay, la rue du Châtel, la place d'armes, la porte Neuve, la rue du port de la Magdelaine, la rue Saint-Esprit et le faubourg Pavé. Les églises et la cathédrale de Verdun ont également subi le même sort (église du faubourg Pavé). © ECPAD
Transport d'un blessé venant des premières lignes, 22 décembre 1916. La mission du service de santé est de rassembler les blessés qui marchent ou d'aller secourir sur le champ de bataille les blessés en vue de leur prodiguer les premiers soins et de les évacuer vers l'Arrière. © ECPAD
Voiture de ravitaillement médical sur le secteur de Verdun, 1916-1917. Photographie de Lucie Collignon, infirmière de l'Union des femmes de France, en poste aux hôpitaux militaires de Verdun et Bar-le-Duc (1914-1917). © ECPAD/Fonds Lucie Collignon
Au ravin des Fontaines, des soldats français occupent les tranchées bouleversées par l'attaque allemande du 4 février 1917. © ECPAD
Soldats français dans le ravin de la Rousse, février 1917. En ce mois de février 1917, la boue envahit l'ensemble
des abris, rendant la vie difficile. © ECPAD
Coopérative militaire à Verdun, mai-juin 1917. Transformé en campement, Verdun abrite plusieurs casernes militaires (camp Bouvière, caserne Chevret, caserne Bévaux, caserne Niel), où les soldats au repos effectuent les corvées quotidiennes, telles que le cirage des chaussures, la désinfection des corps et des uniformes, la préparation du repas (épluchage). Dans cette coopérative militaire, les soldats peuvent acheter des biens de première nécessité ou de la nourriture. © ECPAD