La Contemporaine

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©Laure Ohnona – La Contemporaine

À la fois bibliothèque, musée et centre d’archives, la Contemporaine collecte, conserve et communique des collections sur toute l’histoire européenne des XXe et XXIe siècles. Créée en 1918, elle a pour vocation depuis son origine de rassembler tous les matériaux et toutes les traces documentaires des événements pouvant servir à interpréter et écrire l’histoire de notre temps. La Contemporaine, service inter-établissements de coopération documentaire rattaché à l’Université Paris Nanterre, accueille depuis octobre 2021 le public dans un nouvel équipement à l’entrée du campus universitaire.

À la fois bibliothèque, centre d’archives et musée, la Contemporaine collecte, conserve et communique des collections sur toute l’histoire des XXe et XXIe siècles. Créée en 1918, elle a pour vocation depuis son origine de rassembler tous les matériaux et toutes les traces documentaires des événements pouvant servir à interpréter et écrire l’histoire de notre temps. Aujourd’hui, elle propose à la consultation plus de 4,5 millions de documents, livres, presse, tracts, archives privées, films, documents sonores, peintures, estampes, photographies, affiches, dessins de presse et objets.

Service inter-établissements de coopération documentaire, rattachée à l’Université Paris Nanterre, la Contemporaine est une institution de référence pour la recherche en sciences humaines et sociales. À l’automne 2021, la Contemporaine a inauguré un nouvel équipement, conçu par l’atelier d’architectes Bruno Gaudin, à l’entrée du campus universitaire. Il facilite la rencontre des publics, étudiants, chercheurs, scolaires, passionnés d’histoire et d’une collection patrimoniale remarquable. Cette ambition se décline dans la salle de lecture de 120 places, accessible à toute personne intéressée, dans les espaces pédagogiques, les salles d’exposition, à travers la programmation culturelle et scientifique qui met régulièrement en avant les thématiques fortes de l’institution. Elle se traduit enfin dans l’Atelier de l’histoire, le parcours d’exposition permanente de la Contemporaine.

Comment et à partir de quelles pièces s’écrit l’histoire du temps présent ? Quelle interaction y a-t-il entre les points de vue de l’historien, du militant et du citoyen? À travers une déambulation dans les collections de la Contemporaine - peintures de la Grande Guerre, objets de propagande, croquis des procès de la Libération ou carnets d’engagés de la guerre d’Algérie, archives collectées à chaud pendant la Révolution russe ou samizdats des années 1970-1980, travaux de photojournalistes, entretiens filmés, fonds d’archives militants ou associatifs... - l’Atelier de l’histoire interroge notre relation à l’histoire contemporaine et à ses sources.

 


 

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Infos pratiques

Adresse

184 cours Nicole Dreyfus 92000
Nanterre
01 40 97 79 00

Tarifs

Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Salle de lecture : du lundi au vendredi : 10h-19h / Samedi : 13h-19h Expositions : du mardi au samedi : 13h-19h

Fermetures annuelles

Fermeture entre le 25 décembre et le 1er janvier / Fermeture estivale pendant 3 semaines l’été / Horaires réduits en été

Le Mémorial de l'Escadrille La Fayette

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► Exclusivité cheminsdememoire.gouv.f vidéo commémorative
Dossier de presse spécial centenaire

©Ministère de la défense - DMPA/SDMAE/BAPI - Cliquez sur les visuels pour les consulter en ligne

      
 

Monument érigé en mémoire des aviateurs américains volontaires de l'Escadrille La Fayette engagés durant la Première Guerre mondiale.Inauguré le 4 juillet 1928 (fête nationale américaine) en présence du maréchal Foch.

Symbole de l'amitié franco-américaine.

Situé à Marnes-la-Coquette pour honorer la mémoire des pilotes américains qui donnèrent leur vie sous uniforme français, avant l'entrée en guerre des Etats-Unis qui n’interviendra qu’en 1917.

L'histoire de l'Escadrille La Fayette constitue l'une des plus méconnues et des plus glorieuses aventures de la Première Guerre mondiale.

L'idée de sa création revient à un ancien pilote, Edgard Guerard Hamilton qui avait aidé les Alliés à localiser le corps de leurs morts après la guerre. Il pensa qu'il serait bien que les pilotes américains reposent tous ensemble dans un mémorial qui permettrait de perpétuer l'esprit de leur engagement aux côtés de la France.

Ce projet rencontra un accueil favorable auprès de personnalités américaines et françaises qui formèrent, en 1923, une association "Mémorial de l'Escadrille La Fayette" pour transformer son rêve en réalité.

Des dons conséquents furent faits par de riches familles américaines auxquels vinrent s'en ajouter beaucoup d'autres plus modestes en provenance de toute la France et de l'Amérique.

Le monument se compose d'une arche centrale, dont la taille est égale à la moitié de celle de l'Arc de Triomphe à Paris. Dans la pierre sont gravés les noms des pilotes de l'escadrille La Fayette et du La Fayette Flying Corps morts au combat. Sont aussi gravés les noms des villes et des régions où tous ces pilotes eurent à servir.

Sous le monument, la crypte contient 68 sarcophages, éclairée par 13 vitraux signés Mauméjean dont 11 font référence à des batailles auxquelles l'escadrille La Fayette participa.

Deux Francais, le lieutenant-colonel Thenault, premier chef de l'escadrille, et le général Brocard ont choisi d'être enterrés aux cotés de leurs camarades americains dans la crypte du memorial, marquant ainsi le lien très fort unissant la France et les Etats-Unis.

 

Site officiel

 

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Infos pratiques

Adresse

5 Bvd R. Poincaré - 92430
Marnes-la-Coquette
01 47 95 34 76

Cimetière Américain de Suresnes

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Le cimetière Américain de Suresnes. Source : American Battle Monuments Commission

Ce cimetière de trois hectares fut créé en 1917 par le "Graves Registration Service" et inauguré en 1919.

Le cimetière couvre un terrain de trois hectares dont la libre disposition, exempte de taxes et d'impôts, a été accordée à perpétuité aux Etats-Unis d'Amérique par le gouvernement français.

Etabli en 1917 par le "Graves Registration Service" du Corps d'Intendance de l'armée, il était destiné à accueillir pour leur ultime repos, les soldats tombés au cours de la Première Guerre mondiale. Nombre d'entre eux moururent de leurs blessures ou de maladie dans les hôpitaux de Paris, ou furent victimes de l'épidémie de grippe qui sévit durant la période 1918-1919.

A la fin de la Seconde Guerre, il fut décidé que ce cimetière serait consacré aux victimes des deux guerres mondiales. un carré de tombes supplémentaire fut ainsi créé pour accueillir les dépouilles des 24 soldats inconnus, tombés pendant la Seconde Guerre.

Des loggias et salles-mémorial furent ajoutées d'un côté et de l'autre de la chapelle d'origine. L'enclos des sépultures comporte quatre carrés de tombes . trois d'entre eux pour la Première Guerre avec un total de 1541 tombes et un quatrième où reposent 24 soldats, marins ou aviateurs, tous inconnus, tombés au cours de la Seconde Guerre mondiale.

La Chapelle

Le revêtement extérieur est en pierre calcaire du Val d'Arion et les quatre colonnes du péristyle sont monolithiques. A l'intérieur de la chapelle, les murs et les colonnes sont en pierre de Rocheret. Le plafond est lambrissé de chêne. Quatre plaques en bronze portent les noms de 974 hommes inhumés ou perdus en mer durant la Première Guerre mondiale.

La porte du coté gauche de la chapelle mène vers la loggia de la Première Guerre, un passage couvert dont l'ouverture latérale permet de découvrir les carrés de tombes vers le bas et, au loin, Paris. Le revêtement des murs est en pierre calcaire. La porte du côté droit de la chapelle mène vers la loggia de la Seconde Guerre, semblable à celle de la Première Guerre, à l'exception des inscriptions sur les murs. La chapelle d'origine, conçue par l'architecte Charles A. Platt de New York, fut terminée en 1932. William et Geoffrey Platt, fils de Charles A. Platt ont réalisé les loggias et les salles-mémorial qui furent ajoutées à la chapelle en 1952. Le cimetière d'origine a été inauguré en 1919, le jour du "Mémorial Day". L'inauguration du cimetière de la Seconde Guerre mondiale a eu lieu le 13 septembre 1952.

American Battle Monuments Commission

L'American Battle Monuments Commission (ABMC), fondée par le Congrès des États-Unis en 1923, est une branche autonome du pouvoir exécutif du gouvernement. Elle a pour mission de conserver la mémoire des sacrifices et des exploits des forces militaires américaines là où elles servirent depuis le 6 avril 1917, date de l'entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale.

 

Visites Ouvert tous les jours (sauf les 25 décembre et 1er janvier) de 9h00 à 17h00.

L'entrée est libre et les visites guidées gratuites.

Rendez vous au centre d'accueil des visiteurs, afin d'obtenir des renseignements.

 

Accès

Sncf: Depuis Paris Saint-Lazare ou La Défense, gare de Suresnes Mont Valérien

Bus : 160, 241, 360 (arrêt Cluseret Hôpital Foch)

Voiture : Depuis le Pont de Suresnes, suivre les panneaux bleus: American Military Cemetery and Memorial

 

Suresnes American Cemetery

123 bd Washington 92150 Suresnes - France

Tél. : 01 46 25 01 70

Fax : 01 46 25 01 71

E-mail : suresnes@abmc.gov

 

American Battle Monuments Commission

68 rue du 19 janvier BP 50 92380 Garches

Tel : 01 47 01 37 49

 

American Battle Monuments Commission

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Infos pratiques

Adresse

123 bd Washington 92150
Suresnes
Tél. : 01 46 25 01 70Fax : 01 46 25 01 71 American Battle Monuments Commission68 rue du 19 janvier BP 5092380 GarchesTel : 01 47 01 37 49

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert tous les jours de 9h00 à 17h00.

Fermetures annuelles

25 décembre et 1er janvier

Courriel : suresnes@abmc.gov

Mémorial du Mont-Valérien

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©Charlotte Bourdon - ONACVG

Principal lieu d'exécution par l'armée allemande de résistants et d'otages en France pendant la Seconde Guerre mondiale, le Mont-Valérien est aujourd'hui un lieu qui, à travers ses actions souhaite faire partager son histoire et ses mémoires et ainsi faire découvrir le parcours de ceux "qui aimaient la vie à en mourir".


- La visite virtuelle -
- Plaquette à télécharger -


 

Consulter l'offre pédagogique >>>  mont valérien


Le Mont-Valérien a été le principal lieu d'exécution par l'armée allemande sur le territoire français pendant la Seconde Guerre mondiale. Ces hommes, assassinés parce qu'ils étaient résistants condamnés à mort ou otages, juifs et communistes, sont autant de rappels à notre histoire qui firent naturellement de ce site un Haut lieu de la mémoire nationale.

Après la guerre, le site est choisi par le général de Gaulle pour honorer la mémoire des "Morts pour la France" de 1939 à 1945. Il y inaugure le mémorial de la France combattante le 18 juin 1960. À l'intérieur du site, le "Parcours du Souvenir" permet de suivre le chemin de ceux qui allaient être fusillés : de la chapelle dont les murs gardent encore la trace des graffitis gravés par des condamnés, à la clairière, lieu des exécutions.

  • Les visites guidées

Les visites du mémorial du Mont-Valérien sont uniquement guidées et durent 1h30. Elles sont proposées en français, anglais, espagnol et allemand.

Des visites accessibles aux personnes en situation de handicap mental, visuel et auditif sont également proposées.

La réservation est obligatoire.

  • La programmation scientifique, culturelle et mémorielle

Le mémorial du Mont-Valérien propose une riche programmation qui permet de comprendre l'organisation répressive allemande sur le territoire français tout en valorisant la multiplicité des parcours des 1008 fusillés du Mont-Valérien.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

1 avenue du professeur Léon Bernard 92150
Suresnes
01 47 28 46 35

Tarifs

Entrée et visite guidée gratuite (réservation obligatoire)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Basse saison (du 1er juillet au 31 août, puis du 1er novembre au 28 février) : de 9h à 17h / Haute saison (du 1er mars au 30 juin, puis du 1er septembre au 31 octobre) : de 9h à 18h

Fermetures annuelles

Le 1er janvier, 1er mai, 15 août, 1er novembre et 25 décembre

Musée Franco-Suisse

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Salle d'exposition. Source : L'Association des Amis du Musée franco-suisse de Rueil-Malmaison

Le Musée, inauguré le 9 Novembre 1999 en présence de son Excellence Bénédict de Tscharner, Ambassadeur de Suisse en France, est le seul qui raconte l'histoire des Gardes Suisses au service du roi de France.

Installé dans l'ancien poste de garde de la caserne des Suisses, à Rueil-Malmaison. Il présente sur deux niveaux l'histoire de ce régiment d'élite devenu permanent en 1616.

Histoire des Gardes Suisses

L'endroit où a pris place le tout nouveau Musée franco-suisse est le plus légitime qui se puisse concevoir, car non seulement il se trouve à Rueil qui fut un temps l'une des plus suisse des localités françaises, mais sur les lieux même où a séjourné le célèbre régiment des Gardes-Suisses créé par Louis XIII en 1616.

Durant des décennies la population de Rueil vécut au contact des Gardes-Suisses qui faisaient partie intégrante de la vie quotidienne locale, au point de s'intégrer aux familles ruelloises. En 1755, Louis XV fait construire à Rueil, construite par Charles Axel Guillaumo une caserne pour loger 800 gardes du 2e bataillon du régiment des Gardes-Suisses, qui auparavant étaient logés chez l'habitant. La destruction du régiment ne marquera pas la fin définitive de la présence suisse à Rueil. Sous la Restauration, de 1816 à 1830, la caserne retrouvera deux bataillons de Gardes suisses.

Le musée

Des trois casernes voulues sous Louis XV pour y loger les Gardes-Suisses, seule subsiste celle de Rueil. La caserne de Courbevoie fut détruite en 1962 et celle de Saint-Denis démolie en 1969. Peu après, les façades, toitures du bâtiment principal et les quatre pavillons sur rue de la caserne de Rueil furent classés monuments historiques le 28 août 1974.

Le musée se trouve dans l'ancien poste de garde de cette caserne, seule existante sur les trois construites à la même époque. Il présente sur deux niveaux l'histoire de ce régiment d'élite devenu permanent en 1616.

 

Musée Franco-Suisse
5 place du Général Leclerc (Caserne Guynemer, ancien pavillon de garde)
F - 92500 Rueil-Malmaison
Fax: 00 33 (0)1 47 32 12 58 
Tél.: 00 33 (0)1 47 08 04 85 (le jeudi après-midi).

Accès Bus : depuis La Défense : 258, station Rueil Ville
Accès RER : ligne A, Rueil-Malmaison puis bus 241 ou 244, station Le Gué 

 

Le Centre de documentation des Suisses au Service de France

Il est situé dans le musée et est ouvert dans les mêmes conditions que celui-ci.

Le fonds documentaire comprend livres, articles de périodiques, iconographies…

Il est accessible à toute personne intéressée par l’histoire des soldats suisses au Service de France.

Un important travail de dépouillement des registres paroissiaux et des archives notariales a été réalisé et constitue un très bon outil de base pour des recherches généalogiques concernant des familles de Rueil et autres villes de la banlieue Ouest de Paris où des compagnies de Gardes-Suisses ont été cantonnées 

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Infos pratiques

Adresse

5 place du Général Leclerc - 92500
Rueil-Malmaison
Tél.: 01.47.32.66.50 - Fax : 01.47.32.12.58

Tarifs

Les visites se font sur demande au 01 47 32 66 50 ou sur musee-municipal@mairie-rueilmalmaison.fr, visites possible en juillet et août.Les groupes peuvent passer par l'Office du Tourisme de Rueil-Malmaison au 01 47 32 35 75

Fermetures annuelles

Juillet et août

Musée d’Histoire Locale «Mémoire de la Ville»

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Détail de la collection de figurines napoléoniennes. Source : Mairie de Rueil-Malmaison

Souvenirs des sièges de Paris, de la Première Guerre mondiale et de la Résistance, le musée de Rueil-Malmaison mêle histoire locale et histoire nationale.

Située à huit kilomètres à l'ouest de Paris, dans le département des Hauts-de-Seine, Rueil-Malmaison est une ville qui déploie ses 1472 hectares en pente douce, des hauteurs du Mont Valérien et des coteaux de Buzenval jusqu'aux bords de Seine au nord.

À deux pas de l'Église, l'ancienne mairie de style Second Empire, copie de celle de Fontainebleau, construite en 1868 à l'initiative de Napoléon III en pierres de taille et briques rouges, accueille le Musée d'Histoire de la ville.

Ce musée, inauguré en 1982, retrace l'histoire de l'évolution d'un petit village de la région parisienne, de Charles le Chauve à nos jours.

Les noms de ceux qui ont présidé à l'édification du bâtiment figurent sur une plaque commémorative dans l'escalier d'honneur. Dans le hall, des plaques rendent hommage aux Rueillois victimes de la Première Guerre mondiale, aux victimes de l'Occupation.

Le fonds est constitué essentiellement par les collections de la Société Historique de Rueil-Malmaison, enrichies par des dons ou prêts de particuliers et par un apport des archives municipales. Une maquette et des documents originaux d'Armand du Plessis, duc de Richelieu, les vestiges archéologiques de la résidence mérovingienne de Childebert, les témoignages relatifs à la garnison de Gardes Suisse, les souvenirs du passé impérial de Rueil-Malmaison, l'attribution des armes de la ville - un "N" rappelant Napoléon Ier et un "H" en souvenir de la reine Hortense, mère de Napoléon III - par le décret du 1er septembre 1869, mettent en exergue l'importance des lieux tout au long de l'histoire politique de la France.

Dans la salle Empire, le visiteur peut admirer une collection unique de 1600 figurines peintes à la main, achetées par la Société Historique et la Ville, représentant la Grande Armée, un résumé de la société française et européenne à l'heure napoléonienne : Maréchaux, Officiers généraux, aides de camp, Garde impériale, Garde de Paris, Chasseurs, Lanciers et Cuirassiers, artilleurs et Grenadiers, Régiments Suisses etc. Des lettres de Maréchaux tels Jourdan, Lefebvre ou Victor et un diaporama complètent la présentation.

La salle Docteur Launay, historien local, est consacrée aux événements de la guerre franco-prussienne de 1870. Les panneaux et vitrines insistent sur les combats de Malmaison en octobre 1870 et ceux de Buzenval le 19 janvier 1871 où 4000 homes sont tués pendant la bataille. Une veste de Garde National de 1870 côtoie des souvenirs trouvés sur le champ de bataille et de nombreux documents : estampes et journaux du siège de Paris, caricatures de Trochu, plan de la bataille de Malmaison imprimé à Berlin, des photographies de la ville et de ses alentours en 1870, une reconstitution de la Défense de la Porte de Longboyau (21 octobre 1870) d'après le tableau d'Alphonse de Neuville, les oeuvres d'Henri Régnault, des lieutenants-colonels de Rochebrune et de Montbrisson et du marquis de Cariolis d'Espinousse. Cette collection ouvre sur les conflits du XXe siècle. Tickets de rationnement, objets artisanaux des tranchées évoquent la Première Guerre mondiale, le Fanion du bataillon de résistants "Marianne" rend hommage aux victimes de la guerre 39-45.

 

Musée d’Histoire Locale «Mémoire de la Ville»
Ancienne mairie - 6, rue Paul Vaillant Couturier
92500 Rueil-Malmaison
Tél. : 01.47.32.66.50 - Fax : 01.47.32.12.58

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Infos pratiques

Adresse

6 rue Paul Vaillant Couturier - 92500
Rueil-Malmaison
Tél. : 01.47.32.66.50Fax : 01.47.32.12.58

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert tous les jours, sauf le dimanche et jours fériés, de 14h30 à 18h00VisitesEntrée libreVisite commentée sur demandeProjection « Mon vieux Rueil – Les bords de Seine » les lundis et jeudis après-midi

Fermetures annuelles

Fermeture annuelle au mois d’août