Le fort de l'Eguillette

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Fort de l'Eguillette dans le port de Toulon. Source : ©Rama - License Creative Commons - Libre de droit

Construit entre 1672 et 1680, ce fort offrait à la fin du XVIIème siècle, une protection efficace au port de Toulon mais aussi aux rivages seynois.

La rade de Toulon s'est entourée dès le XVIème siècle d'un système de défense destiné à protéger en premier lieu ses accès maritimes, puis terrestres, au fur et à mesure que l'artillerie offensive allongeait sa portée. Construit entre 1672 et 1680 ce fort offrait à la fin du XVIIème siècle, une protection efficace au port de Toulon, mais aussi aux rivages seynois. L'appellation de l'Eguillette semble venir de la présence en ces lieux de points d'eau douce (ayguade), où les navires venaient se ravitailler.

Contrairement aux constructions rondes des forts de Balaguier et de la Tour Royale, la Tour de l'Eguillette est carrée, flanquée de deux ailes obliques : couloir et batterie à ciel ouvert avec parapets et embrasures, derrière lesquels 22 canons menacent la rade en tir rasant. Le fort de l'Eguillette est un fort en batterie basse : à l'époque de la Marine à voile, il était utilisé pour faire feu sur la coque des navires. Devant le progrès réalisé par l'artillerie au milieu du XIXème sièle, la batterie de droite est casematée par des voûtes en maçonnerie. La batterie de gauche, pouvant être tournée contre l'arsenal en cas de prise du fort, est remblayée. Le Fort de l'Eguillette est loué maintenant par la ville de la Seyne-sur-Mer.

 

Ministère de la défense

Secrétariat Général pour l'Administration Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives

14 rue Saint-Dominique 00450 Armées

E-mail : dmpa-sdace-bacm@sga.defense.gouv.fr

 

Office du tourisme de Toulon

Place Raimu 83000 Toulon

Tél. : 04 94 18 53 00

 

Ville de la Seyne-sur-Mer

 

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Infos pratiques

Adresse

Boulevard Bonaparte 83500
La Seyne-sur-Mer
Tél. : 04 94 18 53 00

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Se renseigner pour l'accessibilité au site

Fort Saint-Louis à Toulon

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Le fort Saint-Louis à Toulon. Source : http://www.toulon.fr

Le fort des Vignettes est détruit en 1707. Il sera reconstruit, presque à l'identique, en 1708 sous le nom de fort Saint-Louis.

Après une inspection de Vauban à Toulon en 1679, le fort des Vignettes est construit entre 1692 et 1697 pour empêcher un débarquement sur la plage et tenir à distance les galiotes susceptibles de mouiller dans la rade. Détruit en 1707, il est reconstruit, presque à l'identique, en 1708 sous le nom de fort Saint-Louis.

Pendant le siège de 1707, le fort, commandé par le capitaine Daillon, est pris à parti par des batteries austro-savoyardes placées sur les hauteurs. Après neuf jours, l'état de délabrement de l'ouvrage oblige ses défenseurs à se replier sur la Grosse tour (tour royale) après avoir mis le feu aux poudres.

Le fort est reconstruit, presque à l'identique, en 1708 sous le nom de fort Saint-Louis. En 1743, il est armé de neuf canons de 24 livres. En 1847, il est armé de trois canons de 30 livres et de trois obusiers de 22 cm placés en arrière d'un parapet en terre englobant le parapet en maçonnerie. Les progrès de l'artillerie conduisent à désarmer le fort à la fin du XIXe siècle, devant l'impossibilité d'y placer des canons de gros calibre. Il reçoit alors un poste d'observation et de commande de mise à feu des mines électriques formant barrage à l'entrée de la grande rade. Plus tard, il devient le siège du club nautique des officiers jusqu'en 2001. Il est inscrit sur la liste supplémentaire des monuments historiques depuis 1948.

Le fort a la forme d'une batterie semi-circulaire dont la gorge est fermée par une tour casematée formant réduit et pouvant porter du canon. L'accès au fort se fait par une porte surélevée et précédée d'un pont-levis. Ce dispositif a pour but de compliquer l'intrusion de fantassins. A côté de la porte d'entrée, une plaque apposée sur le rempart rappelle la conduite héroïque des défenseurs du fort en 1707. Le plan de la batterie est presque semi-circulaire. Son diamètre est d'une cinquantaine de mètres. Le parapet est percé de neuf embrasures à canons tournées vers la mer. Les embrasures sont garnies de briques de façon à ne pas projeter d'éclats dangereux en cas de coup ennemi.

Au milieu du XIXème siècle, le parapet a été absorbé par un parapet massif en terre. Il a retrouvé son état d'origine au cours du XXème siècle. L'arrière de la plate-forme est protégé par deux murs formant parados pour masquer la batterie aux coups venant de terre. Le plan de la tour est asymétrique. Du côté de la terre, elle a la forme d'un bastion plat pour flanquer l'ouvrage par des tirs parallèles au rempart. Face à la mer, elle est semi-circulaire pour que l'artillerie placée sur la terrasse puisse battre un large secteur. La tour comporte deux niveaux voûtés. Le niveau souterrain comportait une citerne et un magasin. A l'étage, une grande salle voûtée servait de logement pour 24 hommes. On aperçoit encore la margelle de la citerne. L'accès à la terrasse se fait par un escalier à vis.

Le fort Saint Louis n'est pas ouvert au public. Ce monument historique, dont le ministère de la défense est affectataire, fait partie d'un protocole Culture Défense, signé le 17 septembre 2005.

 

Office du tourisme de Toulon

Place Raimu 83 000 Toulon

 

Office de tourisme de Toulon

 

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Infos pratiques

Adresse

Littoral Frédéric Mistral 83000
Toulon
Tél. : 04 94 18 53 00

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Le fort Saint Louis n'est pas ouvert au public.

Fort de Balaguier

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Le fort Balaguier. Source : ©Julien MAUCERI. http://www.ctoulon.com/

Ce fort du XVIIème siècle a été construit pour créer un verrou de sûreté à l'entrée de la rade de Toulon.

La rade de Toulon s'est entourée dès le XVIème siecle d'un système de défense destiné à protéger en premier lieu ses accès maritimes, puis terrestres, au fur et à mesure que l'artillerie offensive allongeait sa portée. La protection du port de commerce de Toulon est assurée depuis 1524 par la "Grosse tour" ou tour Royale.

En 1634, Richelieu insiste auprès de Louis XIII pour que soit construite une autre tour sur la pointe de Balaguier, en face de la tour Royale, créant ainsi un verrou de sûreté à l'entrée de la rade. Il s'agit toujours de protéger le port de Toulon, mais, plus spécialement, un petit arsenal né sous Henri IV et que Richelieu, Premier Ministre de la Marine, pressent comme destiné à s'agrandir. Vauban accède en 1679 au Commissariat aux Fortifications.

L'arsenal délaisse Marseille, base des galères et s'implante au fond de la nouvelle darse. Dans la nouvelle conception des fortifications, Balaguier, tour à canons, se voit augmentée de remparts, de murs, de logements et de poudrières qui donnent au fort son aspect actuel.

Fin août 1793, quand les Anglais entrent dans Toulon, Balaguier devient le point de mire des observateurs. D'abord refuge des marins qui refusent l'occupation anglaise, le fort de Balaguier sera occupé par les troupes coalisées. Napoléon Bonaparte, jeune commandant de l'artillerie républicaine, a compris quelle importance stratégique revêt l'emplacement du deuxième verrou de la rade. Après deux mois de combats inutiles, il réussit à faire prévaloir son plan et menant ses troupes à l'attaque par voie de terre, il investit le fort de Balaguier le 17 décembre 1793. Les canons républicains sont maintenant braqués sur la flotte anglaise qui préfère se retirer.

Après la crise de Fachoda, le fort de Balaguier est réarmé une dernière fois. Puis, inutile, il est loué à des particuliers entre les deux guerres. Occupé par les Allemands en 1942, il est libéré en 1944. Restauré, il devient un musée d'histoire maritime et locale à partir de 1970.

Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le 17 mars 1975. La tour de Balaguier ou " Petite tour " par opposition à la tour Royale ou " Grosse tour " est conçue selon les modèles de Richelieu. L'ouvrage comprend à l'origine une tour à canons de 19,5 m de diamètre. Le sous-sol est équipé d'une citerne et de magasins à poudre et aux vivres. L'accès depuis l'extérieur se fait par un pont-levis. Ce niveau est constitué d'une salle voûtée destinée au casernement d'une quarantaine d'hommes. La partie supérieure de la tour est pourvue d'une plate-forme à canons battant la rade par huit embrasures et d'un chemin de ronde dont le parapet est percé de créneaux de fusillade pour la défense rapprochée. De part et d'autre de la tour proprement dite, une batterie rasante avec parapets à embrasures a été construite.


Ce monument historique, dont le ministère de la défense est affectataire, fait partie d'un protocole Culture Défense, signé le 17 septembre 2005.
 

Ministère de la défense

Secrétariat Général pour l'Administration Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives

14 rue Saint-Dominique 00450 Armées

E-mail : dmpa-sdace-bacm@sga.defense.gouv.fr

 

Ville de la Seyne-sur-Mer

 

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Infos pratiques

Adresse

Esplanade Jacques Lebon 83500
La Seyne-sur-Mer

Tarifs

Adultes : 3 euros. Tarif réduit, étudiants, chômeurs, Rmistes et groupe (plus de 8 personnes) : 2 euros. Gratuit pour les enfants de moins de 5 ans.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er au 18 septembre et du 1er octobre au 30 juin, du mardi au dimanche de 9h à 12h et de 14h à 18hDu 1er juillet au 31 août, du mardi au dimanche de 10h à 12h et de 15h à 19h

Fermetures annuelles

Du 19 au 30 septembre

La citadelle de Saint-Tropez

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La citadelle de Saint-Tropez. ©ECPAD

Depuis plus de 400 ans, la Citadelle de Saint-Tropez couronne la ville.

C'est en 1602 que l'ingénieur Raymond de Bonnefons qui a en charge les fortifications provençales entreprend la construction d'une grosse tour caractéristique des fortifications de côte des XVIe et XVIIe siècles. Sa construction voulue par Henri IV s'inscrit dans un programme de mise en défense de la côte afin de se prémunir contre une éventuelle attaque espagnole. Dans les années 1620-1630, la grande enceinte est achevée. Durant les siècles suivants, la forteresse fait l'objet de nombreux travaux qui visent soit à entretenir l'existant, soit à améliorer el système défensif et les conditions de vie de la garnison.

Elle reste un élément important des défenses provençales jusqu'en 1873, date à laquelle elle est déclassée, ses remparts n'étant plus suffisamment efficaces depuis que l'obus a remplacé le boulet.

Achetée par la ville à l'Etat en 1993, la Citadelle fait depuis cette date l'objet d'un important programme de restauration et de valorisation. Le site est classé dans son ensemble au titre des Monuments historiques depuis 1995.

C'est en 2013 que le musée d'histoire maritime a ouvert ses portes après une importante campagne de restauration du donjon. Le musée qui raconte l'histoire des marins tropéziens sur toutes les mers du monde, met en valeur l'héritage précieux de générations de pêcheurs et surtout marins du commerce, qui ont, siècle après siècle, façonné le Saint-Tropez d'aujourd'hui.

La Citadelle de Saint-Tropez est l'un des sites les plus visités de la région Provence-Alpes-Côte-D'azur.

 

www.facebook.com/citadellesainttropez

 

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Infos pratiques

Adresse

1, montée de la Citadelle - 83990
Saint-Tropez
04 94 97 59 43

Tarifs

3,00€ (tarif unique). Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans et détenteurs de la carte ICOM (sur présentation d'un justificatif).Visite guidée sur réservation 04 94 97 59 43

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er octobre au 31 mars : de 10h à 17h30 (dernière entrée à 17h00).Du 1er avril au 30 septembre : de 10h à 18h30 (dernière entrée à 18h00).

Fermetures annuelles

Fermé le 1er janvier, les 1er et 17 mai, le 11 novembre et le 25 décembre.

Mémorial du débarquement et de la libération en Provence - Mont Faron

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©ONaCVG

Sur les hauteurs de Toulon, le Mémorial du débarquement et de la libération en Provence, géré par l'Office National des combattants et victimes de guerre (ONaCVG), est dédié au souvenir de l'opération du 15 août 1944 qui a entrainé la libération de la France au cours de l'été 1944, lui permettant de s'asseoir parmi les vainqueurs de la guerre un an plus tard.


- En 360°, partez à la découverte du mémorial du débarquement et de la libération en Provence à Toulon -
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Voulu et inauguré le 15 août 1964 par le général de Gaulle, alors président de la République, le Mémorial a pour vocation d'honorer le souvenir de tous les combattants engagés dans le débarquement de Provence du 15 août 1944 et la libération de la région. Souvent oublié au profit de celui de Normandie, le débarquement de Provence marque pourtant le grand retour de la France dans la Seconde guerre mondiale : sur les 360 000 soldats ayant pris part à l’opération Anvil-Dragoon, plus de 70% étaient en effet français et constituaient l’armée B du général de Lattre de Tassigny. Deux mois après le débarquement de Normandie, ce second débarquement permit aux Alliés de disposer des deux principaux ports en eaux profondes de Méditerranée, de libérer l’axe rhodanien et d’accélérer ainsi la libération du territoire. Mais il fut aussi important sur le plan politique, en permettant à la France de retrouver un rôle et une place dans le concert mondial des grandes nations d’après-guerre tel que le souhaitait le général de Gaulle.

Une collection importante d'objets d'époque, des témoignages, des vidéos et images d'archives inédites sur 600 m² d’exposition dans un ancien fort du XIXe siècle permettent d'illustrer les événements qui se sont déroulés depuis la nuit du 14 au 15 août 1944 jusqu’à la jonction avec les troupes de Normandie le 12 septembre 1944 en passant par la libération de Toulon et Marseille le 28 août. Sur un écran géant de dix-sept mètres de long, un spectacle immersif fait revivre heure par heure les combats avec des images d’archives inédites de la Libération. Dominant la rade de Toulon, accessible en téléphérique, le Mémorial offre également un panorama exceptionnel sur soixante-dix kilomètres de côte varoise, du bec de l’aigle de La Ciotat à l’île de Port-Cros.

Suite à sa rénovation et sa modernisation intervenues entre 2015 et 2017, les nouveaux espaces muséographiques apportent aux visiteurs un éclairage historique et pédagogique neuf sur ce débarquement. Le rôle de tous les acteurs, français et américains, soldats, résistants et civils, dans la Libération sont bien mis en évidence. Consacré Haut-Lieu de la Mémoire Nationale (HLMN) en 2014 et ré-inauguré le 16 mars 2017 par le chef de l’État, le visiteur découvre un outil désormais moderne et didactique sur un événement historique majeur de la Seconde Guerre mondiale. 

Le Mémorial du débarquement de Provence assure ainsi la transmission de notre histoire au profit de la jeunesse dans le cadre d’une politique de valorisation des sites de mémoire renforçant le civisme, le lien armées-Nation. Il constitue de ce fait un facteur de cohésion nationale.


 

 

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Infos pratiques

Adresse

8458 Route du Faron 83200
Toulon
04 94 88 08 09

Tarifs

6€ tarif plein - 3€ tarif réduit (sous conditions)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

D’octobre à mai : 10h-12h30, 13h15-17h15 / De juin à septembre : 10h-12h30, 13h15-18h30 (sans interruption juillet août)

Courriel : montfaron@onacvg.fr

Mémorial des Guerres en Indochine

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©Cyrielle Sicard/ECPAD/Défense

Le Mémorial des Guerres en Indochine de Fréjus perpétue le souvenir des soldats morts pour la France en Indochine, entre 1940 et 1954. Il permet de mieux comprendre l’histoire de la présence française en Indochine, qui débute véritablement en 1858, mais aussi les grandes phases de la guerre d’Indochine de 1945 à 1954.


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Érigé à la sortie nord-est de Fréjus le long de la Route Nationale 7, sur l’emplacement d’un ancien camp des troupes coloniales, le Mémorial des Guerres en Indochine, dont la gestion est confiée à l’Office National des Combattants et Victimes de Guerre (ONaCVG), constitue en un large cercle de 110 mètres de diamètre inauguré par le président de la République François Mitterrand le 16 février 1993, à proximité d’un monument préexistant élevé en 1983 par des associations et au milieu d’un terrain de douze hectares.

Cette enceinte circulaire comprend dans son axe plusieurs rangées d’alvéoles orientées en direction de la mer, route de l’Indochine, accueillant les ossements de 17 255 militaires identifiés et de 3 152 soldats inconnus tués principalement lors de la guerre d’Indochine (1945-1954) mais aussi durant la Seconde Guerre mondiale (1940-1945) au cours des combats contre les Japonais, rapatriés des cimetières indochinois entre octobre 1986 et octobre 1987 suite aux accords franco-vietnamiens du 1er août 1986. Ceux provenant du nord-Viêt-Nam reposent en partie supérieure et ceux venant du sud en partie inférieure. S’y ajoutent 62 corps provenant de la nécropole de Luynes où ils avaient été inhumés avant 1975. 

Un « Mur du souvenir », érigé parallèlement aux rangées d’alvéoles, comporte sur 438 plaques les noms des 35 000 soldats morts pour la France qui n’ont pas été retrouvés, car portés disparus, ou qui ont été restitués à leur famille.
À titre exceptionnel pour une nécropole nationale, les corps de 3 539 civils identifiés et 79 inconnus qui avaient été inhumés à côté des sépultures militaires d’Indochine, ont également été rapatriés et reposent désormais dans la partie civile du site au sein d’un columbarium. À l’intérieur de l’enceinte, un lieu cultuel destiné à la méditation et au recueillement a été aménagé en 1996, consacré aux quatre principales religions des soldats de l’armée française d’Indochine (chrétienne, musulmane, israélite et bouddhiste).
Le Mémorial est complété par le « Jardin du souvenir » à l’extérieur de la promenade circulaire, simple carré de terre délimité par des pierres blanches destiné à recevoir les cendres d’anciens combattants d’Indochine qui ont souhaité reposer près de leurs frères d’armes. A proximité, se trouvent les cendres du général Marcel Bigeard, décédé en 2010, au sein d’une urne funéraire déposée le 20 novembre 2012, jour anniversaire de l’opération aéroportée « Castor » sur Diên Biên Phu.

Tous les 8 juin depuis 2005, la Journée d’hommage aux morts pour la France en Indochine est célébrée dans ce Haut Lieu de la Mémoire Nationale.

 


 

 

 

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Infos pratiques

Adresse

862, avenue du général d'armée Jean Calliès 83600
Fréjus
04 94 44 42 90

Tarifs

Entrée libre et gratuite

Horaires d'ouverture hebdomadaires

8h30 à 16h00 du lundi au vendredi

Site Web : www.onac-vg.fr